(ce titre vous est offert par le Comité de la chanson de merde, dont la présidente d’horreur est Funambuline)
Non, je ne suis pas (que) une grosse fainéante, et l’année qui se termine pour moi maintenant est celle du bureau. Cet été, la pause bienfaisante aura presque démarré sur une jolie plage basque (le Kursaal de San Sebastian ne permet pas, malgré la proximité géographique, de jouer les pieds dans l’océan, c’est dommage)(mais quels beaux derniers concerts, et quel plaisir d’être applaudis par un public si enthousiaste !). Je l’ai du coup quittée un peu à regrets, j’avoue. Mais faut dire que c’est un peu couillon de devoir abandonner la playa, les mojitos et les palmiers pour rentrer préparer ses vacances…
Bref, c’est donc seule sur le sable les yeux dans l’eau (et phoque, c’est coincé dans mon crâne…) que j’ai regardé en souriant de soulagement cette période chargée de toutes sortes d’émotions s’achever. Tiens-toi bien, mois d’août, je sens que je vais te croquer à pleines dents.
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